L'homme qui marche

Les Argonautes

Un périple intérieur sur tapis mécanique suivi de près par six musiciens bluegrass

Le spectacle

Un road movie sur les planches qui évoque le saut d’un homme dans le vide. Un plongeon dans l’oubli, ou plutôt dans l’absence.
Concertiste de talent, il s’interrompt un jour en plein récital et sort de scène. Il quitte le théâtre, traverse la rue et ne s’arrête plus.
Commence alors un long voyage. A pied.

Un spectacle presque cinématographique entre bluegrass et changement de cap, théâtre physique et dérivés de cirque, ampoules aux pieds et musique classique.

Distribution

Conception et direction artistique Benji Bernard
Avec Benji Bernard, Christian Gmünder et Mathieu Moerenhout
Compagnons de route Etienne Borel et Philippe Vande Weghe
Narrateur Stef de Strooper
Mise en scène Maxime Durin
Regard complice Didier De Neck
Lumières Anne Straetmans
Scénographie Arnaud Van Hammée, Mathieu Moerenhout et Guy Thérache
Vidéo Wilbur Lemson
Film d’animation Frédéric Hainaut (caméra-etc asbl)
Musique « The Preacher Men »
Costumes et accessoires Natalia Fandiño
Régie technique Guy Thérache
Photos Antoinette Chaudron
Production Compagnie Les Argonautes

Les Argonautes

Merci à La Roseraie, au Centre Culturel de Braine-l’Alleud, au Centre
Culturel Jacques Franck, à la Maison de la Culture de Tournai, à Latitude
50- pôle des arts du cirque, à la Maison de la création, au Centre Culturel
de Ciney et au centre culturel du Brabant-Wallon. En collaboration avec le
Tof Théâtre/ Le Monty
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – secteur des
arts de la rue, du cirque et des arts forains.

La presse

CE CIRQUE QUI INTERROGE LE MONDE

Du côté des Argonautes, on se la joue Into the wild, puisque L’homme qui marche dévoile le destin d’un musicien qui plaque tout. Il s’interrompt un jour en plein concert, sort du théâtre et entame un long voyage à pied. Sur un tapis roulant, entre road-movie, dérivés de cirque et musique, Benji Bernard, accompagné de Christian Gmünder et Mathieu Moerenhout, explore de façon très visuelle les chemins de traverse et l’impérieuse nécessité des changements de cap. Pouvons-nous changer le rythme de notre quotidien ? C’est exactement la question que se pose le trio.

Cirque en capitale n°20 OCT/DEC 2019 – Laurent Ancion